Saviez-vous que la présence d’une vue sur la nature pouvait favoriser la convalescence à la suite d’une opération? Voilà une raison de plus qui fait de l’Asclépiade, la maison de convalescence de GrS Montréal, un endroit tout simplement idéal pour votre rétablissement.
Depuis très longtemps et à travers les cultures, on attribue à la nature des propriétés de guérison. Des jardins pour malades font leur apparition pour la première fois au Moyen-Âge, dans des hôpitaux monastiques d’Europe. L’infirmière britannique Florence Nightingale, qui fut une pionnière dans les soins infirmiers modernes, a recensé les effets thérapeutiques de la nature sur l’amélioration de la guérison des patients. Selon elle, des connexions visuelles avec la nature, comme avoir des fleurs à son chevet ou percevoir la nature à travers une fenêtre, contribuent à la récupération des patients. Elle en a fait le récit dans des notes qui ont été publiées en 1860 (Notes on Nursing) .
Depuis 1970, de nombreuses études ont été effectuées sur le sujet. On sait maintenant que les arbres, les plantes et les fleurs affectent positivement le système immunitaire. On sait qu’avec la proximité de la nature au quotidien, tout le corps se porte mieux. On note moins de troubles cardio-vasculaires, musculo-squelettiques, difficultés psychologiques et troubles respiratoires.
Bien sûr, rien ne vaut d’être enveloppé de nature, une promenade dans la forêt a sans conteste un effet régénérateur. Toutefois, même sans être en immersion totale, il est maintenant prouvé que le simple de fait d’avoir dans son environnement quelques arbres, quelques fleurs, des plantes à l’intérieur de la maison ou même une vue sur la nature peut apporter un effet positif sur la santé.
À la lumière de ces recherches, on peut affirmer que la maison de convalescence Asclépiade est idéalement située pour favoriser la récupération des patients. La maison est jouxtée d’un vaste jardin qui comprend plusieurs arbres matures, de nombreuses espèces de fleurs et des espaces aménagés pour la détente. Devant la maison, on peut profiter de la vue agréable de la rivière des Prairies et du parc De la Merci. Si votre condition le permet, vous pourrez arpenter les 64 000 m2 du parc De la Merci et les 28 000 m2 de l’Île Perry. Ces parcs sont plats et sillonnés de sentiers. Vous y croiserez de nombreux marcheurs, mais aussi des gens qui viennent y faire un pique-nique ou la sieste au bord de l’eau. Tout dépendant de la saison, vous y verrez peut-être aussi des oies, il semble qu’elles adorent aussi l’endroit!
Au fil des ans, de nombreux chercheurs, urbanistes, architectes paysagistes et ingénieurs se sont penchés sur les façons d’intégrer la nature aux complexes hospitaliers afin de favoriser la guérison des patients et leur bien-être. Ils tentent de recréer au mieux ce qui existe naturellement à l’Asclépiade : une demeure apaisante, entourée d’un jardin de guérison, un îlot de nature dans la ville, un endroit où il fait bon se reposer.
Super article. Intéressant, qui décrit bien l’environnement de L’Asclépiade avec justesse et poésie.
Chez-moi à Beauport, aux abords d’une piste cyclable, il y a quelques bosquets d’asclépiade qui sont sources de cantine pour les gentils monarques, de passage dans notre petit coin de la belle ville de Québec !
P.S. Ce printemps, je prendrai une photo.